Depuis les années 1970 et la publication des actes du congrès de Besançon (1973) (1) ou de l’enquête sur l’industrie du bâtiment dirigée par Pierre Chaunu
Longtemps ignoré par l’historiographie, l’usage de la terre crue massive dans la construction médiévale rencontre un intérêt renouvelé de la part de chercheurs attentifs à la fois, à la relecture
Cette contribution répond à une commande, destinée à combler une lacune dans l’analyse des matériaux mis en œuvre dans la maison urbaine méridionale au Moyen Âge
Les prospections et recensements du bâti médiéval effectués ces dernières années dans un certain nombre de villes et de villages ont permis de noter la diversité des matériaux et des
Le propos de cette note est de passer en revue les modes constructifs qui assurent la statique et le couvrement des espaces habitables. En d’autres termes, il s’agit de décrire
Caves et greniers ont longtemps été les parents pauvres des études consacrées à la maison médiévale urbaine, qui s’attardent plus volontiers sur les pièces à la mise en œuvre plus
s l’Albigeois et le Lauragais, l’armature des lieux centraux, bourgs ruraux et petites villes, était aux XIIIe et XIVe siècles essentiellement constituée de bourgs castraux
Le terme généralement utilisé pour désigner les cuisines dans les sources écrites du sud-ouest de la France est « coquina » ou « quoquinia ». On le trouve essentiellement dans
L’examen du bâti des maisons médiévales qui ne se contente plus de l’observation des façades, des baies et, au mieux, de la distribution, nous met face à des réalités qui
Au début du XVe siècle, l’hôtel toulousain de noble Bertrand Tornier, tout à fait exceptionnel – le seul habitat civil rencontré à ce jour à Toulouse avec une chapelle